Galeries

16/12/19
Y a-t-il une éthique intellectuelle ?

Pascal Engel

Conférence-débat avec Pascal Engel

Pour Pascal Engel, l’éthique intellectuelle n’est ni réductible à l’éthique tout court, ni une simple branche de l’épistémologie : elle définit les normes qui fondent objectivement la correction des croyances. Dans son livre sur Les Vices du savoir, il montre que l’indifférence à l’égard de ces normes – que partagent, à l’échelle planétaire, tant de nos politiques, journalistes et universitaires contemporains – représente la forme la plus aboutie du vice intellectuel. Ce comportement n’est pas qu’un problème d’épistémologie ou de morale : il sape, dans la cité, la possibilité d’une démocratie véritable.

Pascal Engel est philosophe, directeur d’études à l’EHESS, membre du Centre de recherches sur les arts et le langage (CRAL). Pascal Engel a inscrit ses travaux dans le cadre de la philosophe de tradition analytique, et a travaillé dans plusieurs domaines, avec comme fil directeur une réflexion sur la nature de la connaissance et des normes.

Centre de Recherches sur les Arts et le Langage
Chaire : Connaissance, raisons et normes
Ancien élève de l’École normale supérieure, agrégé de philosophie, Pascal Engel a fait ses études aux universités de Paris IV et de Paris. Sous l’influence de Jules Vuillemin, de Jacques Bouveresse, qui a dirigé son doctorat, puis de Gilles-Gaston Granger à Aix-en-Provence, qui a dirigé son doctorat d’État, il s’est tourné vers la philosophie analytique, qu’il a également étudiée en Angleterre et aux États-Unis. Il a présidé la Société de philosophie analytique de 1993 à 1997 et est membre fondateur de l’European society for analytic philosophy. Il a enseigné aux universités de Grenoble, de Caen, de Paris-IV Sorbonne et dans plusieurs universités étrangères. Il a été membre de l’Institut universitaire de France. Il a été membre du Centre de Recherche en Épistémologie Appliquée de l’École polytechnique puis de l’Institut Jean Nicod de 2001 à 2006. Il a édité la revue Dialectica de 2005 à 2011. De 2012 à 2015 il a été professeur ordinaire de philosophie moderne et contemporaine à l’université de Genève. Depuis 2012, il est directeur d’études à l’École des hautes études en sciences sociales, où il fait partie du Centre de recherche sur les arts et le langage.

  • Liste complète des publications de Pascal Engel sur son site personnel. https://sites.google.com/site/pascalengelehessfr/cv/publications

09/12/19
Le fascisme en France au XXe siècle

Stéphane Rio

Histoire du fascisme en France.


Longtemps, le fascisme fut considéré par nos historiens comme un phénomène étranger aux traditions politiques françaises. Pourtant, dès la deuxième moitié du XIXe siècle, une droite révolutionnaire, anti-Lumières, nationaliste et antisémite a fait entrer la France dans le concert des régimes européens pris dans la dérive fasciste du XXe siècle.

Stéphane Rio est Agrégé d’histoire 
Professeur d’histoire et géographie à Marseille

Champs de recherche :
Les internationalismes face à la guerre et aux frontières
La place de l’immigration dans le débat politique français
L’analyse et la réflexion, remparts contre les extrêmes-droite
Réalités et dangers de l’extrême droite
Histoire des « Gauches » au XXème siècle

02/12/19
Le fascisme en France au XXe siècle

Stéphane Rio

Histoire du fascisme en France.


Longtemps, le fascisme fut considéré par nos historiens comme un phénomène étranger aux traditions politiques françaises. Pourtant, dès la deuxième moitié du XIXe siècle, une droite révolutionnaire, anti-Lumières, nationaliste et antisémite a fait entrer la France dans le concert des régimes européens pris dans la dérive fasciste du XXe siècle.

Stéphane Rio est Agrégé d’histoire 
Professeur d’histoire et géographie à Marseille

Ses champs de recherche :
Les internationalismes face à la guerre et aux frontières
La place de l’immigration dans le débat politique français
L’analyse et la réflexion, remparts contre les extrêmes-droite
Réalités et dangers de l’extrême droite
Histoire des « Gauches » au XXème siècle

29-30 nov.2019
Colloque « Les murs »

Les murs : parlons-en !

Trente ans après la chute du mur du Berlin, d’autres murs restent présents dans le monde : ils sont des mémoires, des témoins et des espaces d’expression citoyenne, artistique et populaire, d’une actualité brulante. Durant deux journées, chercheurs, journalistes, philosophes, artistes et étudiants interrogeront avec le public l’histoire, l’actualité, l’avenir, des murs qui abritent, encerclent, protègent, séparent, cachent, s’écroulent, racontent.

Conférencier·es :

Conférencier·es :
Claire Calogirou : Le mur de Berlin au Mucem 
Béatrice Nuselovici : Le mur de Berlin aujourd'hui 
Marina Sanchez : Le Mur de la Méditerranée 
Pierre Ciot : Le mur de la Plaine 
Danièle Larcena : Le mur de la peste 
Bernard Descales : Des murs dans la ville 
Simon Rico : D'un mur aux autres 
Zoé Carle :  Slogans et graffitis contestataires en Méditerranée 
Suzel Roche  : Les vestiges des calanques 
Philosophes publics : La frontièrisation des corps 
Joke : Les murs, espace d'expression citoyenne 
Coline Charbonnier : Les grapheurs palestiniens face au mur israélien 
Dario Caruso : Inscriptions et graffitis 
La Roue des Philosophes publics Sur l'esplanade
Richard Campana : Les espaces d'expression 
Lapsus Numérique : Ainsi parlaient les murs 
Philosophes publics : La prison 
Philosophes publics : Le mur métaphore ambiguë 
Tous les intervenant·es : Discussion évaluation Clôture
Conférences-débats
Vendredi 29 et samedi 30 novembre 2019 9h30 à 17h30
Mucem - I2MP Entrée libre sur inscription à i2mp@mucem.org


 Claire Calogirou
Ethnologue, chercheur associée au Mucem et à l’Idemec/MMSH

La patrimonialisation du mur de Berlin au Mucem

Résumé
Le mur de Berlin revêt une signification forte pour les collections du musée ; signification double, car il intéresse à la fois la collection graff et l’axe - ville - du musée:
La ville :
Berlin, ville bombardée puis occupée par les forces alliées en 1945, a été partagée entre les deux blocs est et ouest puis coupée par un mur le 15 août 1961 jusqu’à cette date que nous avons tous gardée en mémoire, le 9 novembre 1989. Nombreux ont été les Berlinois qui laissèrent leur vie en tentant de passer à l’ouest. Le musée du Check Point raconte cette histoire. Ce thème de ville coupée pour des raisons politique, nationaliste, religieuse n’est pas restée unique en Europe et Méditerranée, on pense à Nicosie, à Mostar, à Jérusalem…et constitue un sujet important pour le musée.
La ville de Berlin conserve cette mémoire, par le musée du Check Point, donc, mais aussi par le musée de la Stasi et celui consacré à la vie à Berlin est.
Le mur est un symbole matériel de cette période. L’ensemble a été démoli, une partie a été conservée, East Side Gallery.
Le graffiti
 :
C’est dire combien pour les graffeurs, ce mur fait partie de l’histoire européenne. Ils y ont posé des graffiti, simples tags ou fresques, signatures ou messages politiques et revendicatifs ; ils se plaisent à voir sur East Side Gallery, les signatures des anciens.
D’autre part, des graffeurs berlinois racontent qu’à la chute du mur, les Berlinois de l’est, comme l’Europe de l’est, ont découvert le graffiti. Aujourd’hui, cette galerie fait partie de la promenade sur la berge de la rivière Spree, ce qui n’était pas encore le cas lorsque je m’y suis rendue avec des graffeurs parisiens en 2005.


En préalable, mon exposé présentera le contexte de la campagne de recherche-collecte dans laquelle s’inscrit l’acquisition du pan du mur de Berlin, puis le cheminement de la patrimonialisation au Mucem. Il mettra en évidence le statut conféré par son entrée dans les collections du musée, les thématiques dont il est support de discours. Il reviendra également sur son exposition dans la Galerie de la Méditerranée, dans la section Citoyenneté et droits de l'Homme au Mucem de 2013 à 2016.
Béatrice Nuselovici (Gonzalés-Vangell) agrégée d’allemand et titulaire d’un doctorat en lettres et civilisation germaniques, auteur de nombreux ouvrages. 
Elle a vécu 23 ans à Berlin.
En novembre 1989, les Berlinois de l’ouest de la ville exprimaient leur crainte de voir ce territoire qui était un espace de liberté, livré à la bureaucratie de Bonn. D’autres ennemis la guettaient : le tourisme de masse et la spéculation immobilière. Que devient le mur de Berlin aujourd’hui ?
http://www.lamarseillaise.fr/culture/patrimoine/77422-le-sudwall-cet-encombrant-heritage-de-l-occupation

25/11/19
Sur quelques difficultés de la démocratie

Marc Rosmini

On dit souvent que notre époque serait caractérisée par une « crise de la démocratie ». Ce prétendu constat soulève toutefois deux problèmes.  
Le premier consiste à se demander s'il n'appartient pas à la nature même d'une démocratie d'être en crise, ou plutôt en questionnement sur elle-même. Croire que nous vivons dans une « vraie » démocratie reviendrait à penser que nous sommes à la « fin de l'histoire », et qu'il n'y a plus rien à inventer en matière de politique.
Le second, qui découle du premier, porte sur le concept même de « démocratie » qui, lorsqu'on en parle, est toujours menacé d'essentialisation. Or l'histoire nous montre que des types d'organisation très divers ont revendiqué ce statut « démocratique ». Parler de la démocratie au singulier, et comme s'il s'agissait d'une évidence, ne peut que nous conduire à masquer les enjeux des problèmes soulevés par ce projet d'un gouvernement du peuple par lui-même.
Cette session de l'Université Populaire aura donc pour ambition, notamment à partir des travaux de Pierre Rosanvallon, d'examiner quelques-uns de ces problèmes et, sait-on jamais, de proposer quelques pistes de solutions.
Marc Rosmini est Professeur agrégé de philosophie  
Il enseigne au lycée Antonin Artaud et au lycée Thiers de l’académie d’Aix-Marseille

Sa curiosité l’a conduit à mettre en relation la réflexion philosophique avec des thèmes variés, allant de la cuisine au western en passant par l’art contemporain. Il fait partie du collectif Les Philosophes Publics

Marseille révélée par l’art contemporain, éd. Jeanne Laffitte, Marseille, 2007
• Pourquoi philosopher en cuisinant ? – Méditations autour de 10 recettes de Lionel Lévy, éd. Aléas, Lyon, 2007
• Road Movies, Images En Manœuvres Éditions, Marseille, 2012, (épuisé), La Marelle Éditions, Marseille, 2017 (numérique)
• Méditations westernosophiques, éd. Médiapop, Mulhouse, 2015
Cinéma et bioéthique : Etre plus ou moins un sujet, éd Rouge profond, 2019

18/11/19
Mécanique Quantique

Alejandro Perez – SCIENCES

Conférence-débat avec Alejandro Perez

Mécanique Quantique


Le jardin aux sentiers qui bifurquent : l’émergence du réel en physique quantique.
À partir des résultats de certaines expériences fondatrices du début du XXeme siècle, je décrirais l’étonnante nature du monde selon la mécanique quantique. 


Alejandro PEREZ
Enseignant-chercheur
Chef de l’équipe « Gravité quantique » Aix-Marseille Université
Chercheur au Centre de Physique Théorique - CPT 
Membre honoraire de l'Institut Universitaire de France







09 nov.2019
Le mur de Berlin, hier et aujourd’hui

Charlotte Noblet et Catherine Teissier

Le mur de Berlin , hier et aujourd’hui
Conférence-débat avec Catherine Tessier et Charlotte Noblet

  Catherine Teissier  
est agrégée d’allemand et docteure en Littérature allemande. Après des études à Paris (École Normale Supérieure de Fontenay-Saint-Cloud) et à Berlin (Université Libre de Berlin), elle enseigne depuis 1994 la langue, la littérature et l’histoire allemandes au Département d’Études Germaniques de l’Université d’Aix-Marseille (AMU).
Elle est spécialiste de l'histoire de la RDA


Charlotte NOBLET
est journaliste franco-allemande basée à Marseille après une dizaine d’années à Berlin.
Passionnée par l’histoire contemporaine de l’Allemagne, Charlotte Noblet est également adepte du continent africain où elle encadre plusieurs rédactions. Egalement consultante en communication, la journaliste entend ouvrir un lieu dédié à l’éducation aux médias et à l’information à Marseille.

04/11/19
Les trous noirs

Alejandro Perez – Sciences

Conférence-débat avec Alejandro Perez

Les Trous Noirs et la fin du temps en Relativité Générale

Dans cette présentation je vais essayer de vous transmettre les idées fondamentales de la relativité générale en décrivant ses solutions les plus remarquables : les trous noirs.
Les trous noirs sont sans doute la prédiction la plus spectaculaire de la relativité générale. Ces objets énigmatiques sont présents en grand nombre dans l’univers observable. Ce sont les reliques du violent processus d’effondrement gravitationnel. Il est possible de comprendre les caractéristiques de base des trous noirs  sans faire appel à des connaissances techniques sophistiquées en utilisant la notion de cône de lumière.


Alejandro PEREZ
Enseignant-chercheur
Chef de l’équipe « Gravité quantique » Aix-Marseille Université
Chercheur au Centre de Physique Théorique – CPT 
Membre honoraire de l’Institut Universitaire de France







21/10/19
Qu’est-ce que le travail ?

Renato Di Ruzza – Ergologie

Conférence-débat avec Renato Di Ruzza,

Qu’est-ce que le travail ?

Au delà des multiples définitions qui en ont été données dans la littérature économique, sociologique, ergonomique ou philosophique (et qui seront rapidement rappelées et commentées), le travail sera considéré du point de vue de l’activité, c’est-à-dire comme un « usage de soi » : usage de soit par soi, et usage de soi par d’autres. Le point de départ d’une telle définition réside dans l’examen par les ergonomes de tradition francophone (ceux qui ont fondé l’ergonomie de l’activité) de la manière dont fonctionne le modèle productif taylorien. Ils ont constaté que malgré la prétention scientifique d’un tel mode d’organisation du travail, les travailleurs ne faisaient jamais exactement ce que le bureau des méthodes leur demandait de faire, et qu’il y avait toujours un écart entre le travail tel qu’il était prescrit et leur travail réel. C’est en détaillant les raisons d’un tel écart que nous parviendrons à comprendre ce qu’est le travail, et à montrer qu’il s’agit d’une activité qui déborde largement l’emploi.

Économiste ancien directeur scientifique à l’Iseres
Actuellement secrétaire général de la société internationale d’ergonomie
Professeur émérite des universités en sciences économiques

14/10/19
Le besoin de métaphysique

Raphaël Liogier – Philosophie

« Le besoin de métaphysique » , sera l’occasion d’évoquer l’idée selon laquelle il ne faut pas confondre la métaphysique (qui est de ne pas accepter le matérialisme pur et dur) et la théologie, le dogme, la superstition. La métaphysique, c’est le refus des idées arrêtées, y compris celles qui se prétendent indéniablement rationnelle. Or nous avons besoin métaphysique aujourd’hui, individuellement mais aussi collectivement, par exemple en politique. En fait la métaphysique consiste à regarder toujours au-delà de l’horizon, au-delà de la matière, de la mécanique, de l’économie, de l’intérêt primaire, etc.

Raphaël Liogier
Professeur des universités, Sciences Po Aix-en-Provence
Chercheur invité à Columbia University, New York (CES : Council for European Studies)
Enseignant au Collège international de philosophie (Paris)
Chercheur au Sophiapol (Université de Paris 10 – Nanterre)

Manifeste métaphysique
Raphaël Liogier
Dominique Quessada

Présentation de l’éditeur

Que faudrait-il pour refaire le monde ? Avant tout, parvenir à penser autrement. Penser le monde au-delà des certitudes faciles, des dogmes stérilisants, des refuges identitaires et des dualismes rassurants. Décloisonner la pensée. Explorer des pistes improbables, non visitées. Refuser de se soumettre à un destin déjà tracé. Rien n’est plus vital, rien n’est plus concret, rien n’est plus nécessaire aujourd’hui. C’est cette urgence collective actuelle – politique, économique, sociale, écologique – qui a motivé cet appel à une métaphysique nouvelle.

Biographie de l’auteur

Depuis une vingtaine d’années Raphaël Liogier explore dans ses ouvrages les mutations de l’identité humaine. Il est notamment l’auteur aux éditions Les Liens qui libèrent de Sans Emploi. Condition de l’homme postindustriel et de Descente au coeur du mâle. Dominique Quessada est chargé du séminaire au Collège international de philosophie et membre du collectif de rédaction de la revue Multitudes. Il a publié notamment L’Esclavemaître (Verticales), L’Inséparé, Essai sur un monde sans Autre (Puf), L’Autre, Anatomie d’une passion (Cerf).

07/10/19
Les communs dans la cité

Fabienne Orsi – Économiste

Conférence-débat avec Fabienne Orsi

« Les communs dans la cité »

L’usage du mot « commun.s » ne cesse de se répandre. L’emploi de ce mot fait florès dans les cercles militants, politiques, intellectuels, universitaires. Mais de quoi parle- t-on ? À quelles pensées, à quelle praxis se réfère-il? Le besoin de définitions se fait d’autant plus sentir que le débat s’enflamme autour de ce mot, comme s’il était traversé d’un vent de révolution. Mais laquelle?

Fabienne Orsi est économiste, chercheuse à l’Institut de Recherche pour le Développement. Son thème prioritaire de recherche a longtemps concerné l’analyse critique de l’évolution des droits de propriété intellectuelle dans le domaine des sciences de la vie et du médicament, leurs inscriptions dans l’organisation du commerce mondial et des rapports Nord/Sud. Depuis 2010, elle est engagée dans une recherche pluridisciplinaire sur le thème des communs avec comme principal questionnement la manière dont la renaissance du thème vient réinvestir les concepts de propriété, de gouvernement et de démocratie. Elle est l’une des directrices du Dictionnaire des biens communs (PUF, 2017).

30/09/19
La société des singularités

Yves Pillant – Philosophie

Conférence-débat avec Yves Pillant
La société des singularités
La société a longtemps été considérée comme un système homogène dans lequel chacune et chacun devait s’intégrer « pour en être » ; le tout l’emportait sur la partie. Aujourd’hui l’individu a gagné en autonomie, diverses formes d’expression et de contribution le singularisent au sein des groupes dans lesquels il évolue (réseaux sociaux inclus).
Il s’agira d’interroger les enjeux de philosophie politique que porte ce déplacement et d’envisager la conception du commun que cette orientation promeut. Bref, une société des singularités est-elle pensable ?
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Yves Pillant est Docteur en Philosophie
École doctorale : Cognition, Langage, Éducation
Unité de recherche : Institut d’Histoire de la Philosophie.
Thèse : Une politique de la vulnérabilité est-elle « pensable » ?
Consultant. Responsable de formation. Responsable développement. Chef de projet. Responsable du laboratoire de recherche en travail social IMF

Yves PILLANT
Docteur en Philosophie
École doctorale : Cognition, Langage, Éducation
Thèse : Une politique de la vulnérabilité est-elle « pensable » ?
Unité de recherche : Institut d’Histoire de la Philosophie.
Consultant. Accompagnement des structures sociales et médico- sociales dans leurs évolutions
Responsable de formation. Responsable développement. Chef de projet. Responsable du laboratoire de recherche en travail social IMF
Production scientifique
Inclusion, jeux de mots ou nouveau paradigme pour l’’action sociale ?
Revue Ergologia n° 12 décembre 2014
Yvanne Troussier. Alvaro Casas. Yves Pillant
http://www.ergologia.org/revue-ergologia.html
Social action in France : issues and development
Transnational Social Work and Social Welfare. Routledge, London and New York, 2016
Yves Pillant, Nathalie Jami, Nathalie Segura
L’ingénierie à l’épreuve de l’international
Conférence européenne EASSW Paris Descartes 2017
Yves pillant
Plaidoyer pour une société des singularités
Les Cahiers de l’actif n°478/479 2016
Yves Pillant