A la suite du confinement de ce début novembre, l’UPOP a anticipé et adapté ses activités. Pendant cette période les conférences de l’Université Populaire de Marseille-Métropole seront accessibles librement en visioconférence.
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Les lundis à 18h30 > ON NE SAIT PAS TOUT…
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« Le cumul des inégalités face à l’épidémie et face au confinement font de la crise sanitaire actuelle un fort révélateur d’inégalités sociales »
Près de 350 scientifiques, universitaires et professionnels de santé critiquent la dérive de la politique sanitaire du gouvernement français. La peur et l’aveuglement gouvernent la réflexion, conduisent à des interprétations erronées des données statistiques et à des décisions administratives disproportionnées, souvent inutiles voire contre-productives.
L’idée d’une « deuxième vague » reproduisant le pic de mars-avril 2020 n’est pas un constat empirique. C’est une théorie catastrophiste issue de modélisations fondées sur des hypothèses non vérifiées…
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Architecte, Lauréate du Prix Born Awards France 2018, Corinne Vezzoni a reçu le prix Femmes architectes 2015. En 2018, elle a été nominée au Grand Prix national d’Architecture.
En 2020, Grande médaille d’or de l’académie française d’architecture.
Elle a grandi au Maroc et est installée à Marseille depuis ses études d’architecture. Outre son travail d’architecte, Corinne Vezzoni est également enseignante à l’Université de Provence, master aménagement et urbanisme et invitée des écoles des Arts et Métiers et de Polytechnique Marseille Château-Gombert.
Elle s’est engagée dans la réflexion sur le projet métropolitain Aix-Marseille-Provence, au sein de l’équipe Devillers et associés.
« L’urbanisation envahit l’équivalent d’un département français tous les sept ans » Corinne Vezzoni
Quelle est la place accordée à la participation citoyenne dans les projets urbains, d'aménagement du territoire ?
Quels sont les enjeux pour les différents partenaires publics et privés et les institutions intervenant en architecture, urbanisme ou paysage, notamment, auprès des villes et communes ?
Comment le législateur appréhende et influence l'occupation des territoires ?
Qu'elle est la part d'influence des lobbys immobiliers et financiers ?
François Otchakovsky-Laurens est docteur en histoire médiévale et chercheur associé au laboratoire TELEMME (UMR 7303, Université d’Aix-Marseille et CNRS). Ses travaux portent sur l’écrit de gouvernement, la normativité juridique, la vie politique et les pratiques de délibération urbaines à la fin du Moyen Âge. Maître de conférences en histoire médiévale à l’Université Paris Diderot – Laboratoire Identités, Cultures, Territoires (ICT – EA 337)
Marseille, de l’an mille au Moyen Âge tardif, voit l’émergence politique et économique de sa bourgeoisie marchande après cent ans d’un système vicomtal. Sachant profiter des situations diverses, des Croisades aux faiblesses politiques des princes d’Anjou, elle parvient à connaitre des périodes d’essor, néanmoins nuancées par les troubles politiques et l’incapacité de la ville à véritablement rivaliser avec les Républiques italiennes en Méditerranée.
De l'an mil à la fin du XIIe siècle, Marseille est divisée entre trois pouvoirs, desquels domine celui des Vicomtes. Après la prise du pouvoir par la bourgeoisie commerçante et une affirmation de sa puissance politique au début du XIIIe siècle, Marseille passe sous le joug des souverains de Provence à partir de l'imposition par Charles d'Anjou des Chapitres de Paix en 1257. Au XIVe siècle, la commune parvient à retrouver une partie de son autonomie politique en s'assurant la protection de la maison d'Anjou, à qui elle jure fidélité lors de la guerre de l'Union d'Aix en 1385. Le sac de Marseille par les Catalans en 1423 et la destruction la ville ont occasionné un profond déclin à la fin du Moyen Âge. Marseille est finalement rattachée à la France par Louis XI en 1482, lors de l'union du Comté de Provence au royaume de France.
Bibliographie indicative :
Jacques CHIFFOLEAU, La comptabilité de l'Au-Delà : les hommes, la mort et la religion dans la région d'Avignon à la fin du Moyen Age (vers 1320 - vers 1480), Rome, École française de Rome, 1980.
Didier FASSIN, « La supplique. Stratégies rhétoriques et constructions identitaires dans les requêtes d’aide d’urgence », Annales HSS, 55, 5, sept-oct. 2000, p. 953-981.
Michel HÉBERT, La voix du peuple. Une histoire des assemblées au Moyen Âge, Paris, Presses universitaires de France, 2018.
Didier LETT, « Les voix du peuple à la fin du Moyen Âge », Médiévales, 71, automne 2016, p. 159-176.
Francine MICHAUD, « Le pauvre transformé : les hommes, les femmes et la charité à Marseille, du XIIIe siècle jusqu'à la Peste noire », Revue historique, 650, 2009, p. 243-290.
Michel MOLLAT, « La notion de pauvreté au Moyen Âge : position de problèmes », Revue d’histoire de l’Église de France, 149, 1966, p. 5-23.
Thierry PÉCOUT (sous la direction de), Marseille au Moyen Âge, entre Provence et Méditerranée. Les horizons d’une ville portuaire, Méolans-Revel, Désiris, 2009.
Jacques LE GOFF, La naissance du Purgatoire, Paris, Gallimard, 1981.
François Otchakovsky-Laurens, La vie politique à Marseille sous la domination angevine (1348-1385), Rome (Collection de l’École française de Rome, 543), École française de Rome, 2017.
Bruno Canard partage avec nous les découvertes réalisées sur le coronavirus
« Il faut financer des études fondamentales sur tous les virus pour ne pas reproduire, en cas de nouveau virus émergent, la panique que l’on connaît avec le coronavirus. »
Bruno Canard, spécialiste des coronavirus.
Bruno Canard est spécialiste des coronavirus. Il est directeur de recherche CNRS et responsable de l’équipe « Réplicases virales : structure, mécanisme et drug-design », dans le laboratoire « Architecture et fonction des macromolécules biologiques » de Marseille.
La FRM a financé son équipe de 2008 à 2011, à hauteur de 272 177 euros. Depuis 2019, elle est à nouveau à ses côtés et lui a attribué 318 460 euros pour travailler sur 3 virus émergents, dont le coronavirus.
Bruno Canard revient sur son entrée dans le monde des coronavirus, partage avec nous les découvertes réalisées sur le coronavirus grâce au soutien de la FRM et ses recherches en cours. Un travail acharné, sur du long terme pour se préparer aux épidémies à venir.
Qu’est-ce qui vous a amené à travailler sur les coronavirus ?
Bruno Canard : « L’entrée de mon équipe dans le monde des coronavirus a commencé en 2002 par une découverte sur le virus de… la dengue. Nous avons découvert une enzyme qui protège le matériel génétique de ce virus dans la cellule infectée. Cette enzyme était suspectée d’être également présente chez les coronavirus, ce qui m’a valu d’être invité par Eric Snijder à un congrès sur la famille des nidovirus à laquelle appartiennent les coronavirus. C’était en Hollande, début 2003, à Egmond Ann Zee. Je m’en souviens car le congrès Nidovirus 2020 devait y avoir lieu en mai et il a été annulé pour cause de… COVID-19. L’idée était que cette communauté de chercheurs s’inspire de nos travaux sur la dengue pour leurs recherches sur le coronavirus . Ce meeting s’est déroulé à l’époque en plein milieu de l’épidémie du SRAS. Rapidement une réponse à l’épidémie s’est organisée dans la communauté scientifique, des projets ont vu le jour et je me suis retrouvé embarqué par tous les spécialistes du coronavirus dans cette nouvelle aventure ».
En présence de Marie Batoux qui nous a fait l’honneur de venir assister à la conférence et de nous faire un discours en introduction concernant l’Éducation populaire.
Hélène Banoun, spécialiste en biologie, nous a fait le plaisir d’abord de remplacer notre intervenant manquant, mais aussi de nous livrer un discours apaisé et modéré sur les conséquences quotidiennes de cette pandémie, qui est devenue à ce jour, une « épidémie sans malades ».
Professeure des universités, elle enseigne la philosophie politique et sociale à l’université Paris-VIII
Elle
étudie les imbrications entre les rapports de genre et de race ainsi
que les logiques de domination.
En 2004,
Elsa Dorlin soutient la thèse de philosophie « Au chevet de la
Nation : sexe, race et médecine : XVIIe-XVIIe siècles »
à l’Université Paris-Sorbonne. Elle enseigne la philosophie
politique et sociale à l’université Paris-VIII.
En
2014, elle rejoint l’équipe du Centre d’études féminines et
d’études de genre de Paris VIII2.
En 2009,
elle reçoit la médaille de bronze du CNRS (section 35) pour
l’ensemble de ses travaux sur la philosophie et le genre et
l’épistémologie féministe
Publications
Ouvrages
Se défendre : une philosophie de la violence, Paris, La Découverte, 2017, 252 pages, http://www.editions-zones.fr/
Sexe, genre et sexualités : introduction à la théorie féministe, Paris, PUF, coll. « Philosophies », 2008, 153 p.
La matrice de la race : généalogie sexuelle et coloniale de la nation française, Paris, La Découverte, coll. « Textes à l’appui / Genre et sexualité », 2006, 308 p.
L’évidence de l’égalité des sexes : une philosophie oubliée au 17e siècle, Paris, L’Harmattan, 160 p., coll. « Bibliothèque du féminisme », 2001.
Direction et participation à des
ouvrages collectifs
Avec
Isabelle Clair (dir.), Eleni Varikas : pour une théorie
féministe du politique, Paris, Éditions Ixe, 272 pages.
Introduction générale La République vue par une étrangère :
http://editionsixe.fr/sites/default/files/livres/fch/elenivarikas_introduction_0.pdf
Avec
Eva Rodriguez (dir.), Penser avec Donna Haraway, Paris, PUF, coll.
« Actuel Marx/Confrontations », 2012, 248 pages.
Avec
Éric Fassin (dir.), Reproduire le genre, Paris, BPI, 2010, 192 p.
Sexe,
race, classe : pour une épistémologie de la domination,
Paris, PUF, coll. « Actuel Marx/Confrontations », 2009.
Avec
Éric Fassin (dir.), Genres et sexualités, Paris, BPI, 2009, 235 p.
Black
Feminism, recueil de textes, Paris, L’Harmattan, coll.
« Bibliothèque du féminisme », 2007.
Avec
Hélène Rouch et Dominique Fougeyrollas (dir.), Le corps, entre
sexe et genre, Paris, L’Harmattan, coll. « Bibliothèque du
féminisme », 2005, 168 p.
Marie-Blanche
Tahon, « compte rendu: Hélène Rouch, Elsa Dorlin et Dominique
Fougeyrollas-Schwebel (dir.) Le corps, entre sexe et genre. Paris,
L’Harmattan, Collection « Bibliothèque du féminisme »,
2005, 170 p. », in Recherches féministes, vol. 20, no 2,
2007, p. 200-205 (consultable en ligne [archive])
Articles
Elvan Zabunyan, « La conscience
féministe noire, ou la radicalité d’une pensée contemporaine »,
La Revue Internationale des Livres et des Idées, 2008.
Mathilde Gérard, « Le sexe est
avant tout une question politique », Le Monde, 8 mars 2010
(lire en ligne [archive]).
Basée
à Grasse, chargée de mission de l’Institut Godin, les recherches
de Geneviève portent sur le croisement entre économie solidaire,
innovation sociale, communs et approche par les capabilités du
développement durable. Initiatrice du Pôle Territorial de
Coopération Économique TETRIS (Transition Écologique Territoriale
par la recherche et l’Innovation Sociale) basé à Grasse (France)
elle anime et coordonne le centre de recherche appliquée et de
transfert pluridisciplinaire qui structure ce PTCE.
Département
de philosophie et sciences de l’éducation, Université de Turin
(Italie)
Professeur
de philosophie à l’université de Turin, Enrico Donaggio s’intéresse
à l’impact des mutations contemporaines du travail sur la liberté
et, plus largement, aux théories philosophiques et historiques de la
modernité, aux théories du mal politique et aux théories critiques
de la société. Auteur d’une centaine de publications, il a
notamment écrit sur l’industrie culturelle à l’ère de Steve
Jobs, assuré l’édition italienne du Nouvel
esprit du capitalisme
de Christian Boltanski et Eve Chiappello ainsi que plus récemment
une nouvelle édition italienne du Discours
de la servitude volontaire
d’Etienne de la Boétie.
Résident
à l’IMéRA
Projet
de recherche
Travail
et liberté au XXIe siécle
Mon
projet se situe dans le champ interdisciplinaire délimité par les
questions suivantes: quelles retombées en termes de liberté –
individuelle et collective; morale, sociale et politique – sont en
train de produire les révolutions qui bouleversent aujourd’hui
l’expérience, typiquement humaine, que nous appelons « travail »?
En quelles formes sera-t-il possible en avenir d’interpréter le
travail pas seulement comme une source de pathologies sociales
dramatiques et envahissantes, mais aussi comme une source
fondamentale et problematique de liberté? Quel genre de narrations
et représentations orientées à l’émancipation – au niveau
micrologique : mythologies personnelles, histoires et parcours de
vie; et macrologique : philosophies de l’histoire, diagnostics et
ontologies du présent – pourront encore avoir comme protagoniste,
principal ou marginale, l’individu en relation avec son travail et en
quête de sa liberté ?
Thèse
en préparation : L’impact du common Ground sur le fonctionnement
de la conversation à travers une analyse des sourires lors des
transitions thématiques
Communications
Amoyal,
M.(2018). « Parlons d’autre chose : L’impact du Common Ground
sur les sourires des interlocuteurs lors des transitions thématiques
dans la conversation « , JAD Journée Annuelle des Doctorants, 7
décembre, Aix-en-Provence.
Amoyal,
M.(2018). « Le sourire nous parle », JLEx Journée des Étudiants
en Linguistique Expérimentale, 6 avril, Aix-en-Provence.
Amoyal,
M.(2016). « Les langues présentes dans les lieux culturels de la
plaine », Colloque des étudiants de L3 de Sciences du Langage, 22
avril, Aix-en-Provence.
Participation
aux projets
19/10/2018 et
20/04/2018 : Projet ANR ACCORFORMed (Coordinateur : Philippe
Blache) Formatrice du personnel médical à l’annonce
d’évènement indésirable grave – Institut Paoli-Calmettes,
Marseille
2016 – 2017 :
Stage de recherche auprès d’un enseignant-chercheur (Béatrice
Priego-Valverde) Annotation fonctionnelle des sourires-feedback
dans la conversation – Laboratoire Parole et Langage – AMU,
Aix-en-Provence
Sept. à Nov. 2016
: Vacation auprès d’un enseignant- chercheur (Olivia
Guerin) Transcription orthographique d’un corpus audio de trois
conférences – Laboratoire Parole et Langage – AMU, Aix-en-Provence
Mai à Juillet 2016 :
Projet « Cheese ! » ( Coordinatrice : Béatrice
Priego-Valverde) Annotations de l’intensité des sourires,
logiciel Elan – Laboratoire Parole et Langage – AMU, Aix-en-Provence
Mai à Juin 2015 :
Projet ANR « CoFee » Conversational Feedback (Coordinateur :
Laurent Prévot) Annotation fonctionnelle du Feedback lexical,
logiciel Elan – Laboratoire Parole et Langage – AMU, Aix-en-Provence
Directeur
de recherche de première classe au CNRS et directeur d’études à
l’EHESS
Membre
correspondant du Centre Norbert Elias depuis décembre 2016
U.M.R.
Géographie-Cités (CNRS Paris I / Paris VII) Équipe E. H.GO
(Épistémologie et histoire de la Géographie)
A
l’EHESS, sa Direction d’études est intitulée « Savoirs et
projets de paysage. Cultures et pratiques spatiales modernes et
contemporaines ».
Il
enseigne l’histoire de la géographie à l’université Paris 1
(Institut de géographie), et l’histoire et la culture du paysage à
l’École Nationale Supérieure du Paysage de Versailles-Marseille.
Il
est co-directeur de la rédaction de la revue Les Carnets du
paysage et responsable du secteur éditorial à l’ENSP de
Versailles-Marseille.
Il
est président de la Commission d’Histoire de la Cartographie du
Comité Français de Cartographie depuis 2010.
Ses
travaux développent une interrogation épistémologique, historique
et anthropologique sur la géographie, ainsi que sur les diverses
formes prises par les savoirs et les représentations de l’espace
et du paysage à l’époque moderne et contemporaine.
Il
est l’auteur de nombreux articles sur l’histoire des savoirs
géographiques à l’époque moderne et sur la théorie du paysage,
et a publié plusieurs ouvrages :
La
nécessité du paysage, Parenthèses, Marseille, 2018.
Le
monde sur une feuille. Les tableaux comparatifs de montagnes et de
fleuves dans les atlas du XIXe siècle, Fage éditions, Lyon, 2015
(avec G. Palsky).
Habiter.
Un monde à mon image, Flammarion, Paris, 2013.
Le
goût du monde. Exercices de paysage, Actes Sud/ENSP, Arles, 2009.
Les
grandeurs de la Terre. Aspects du savoir géographique à la
Renaissance, ENS Éditions, Lyon, 2003.
Face
au monde. Atlas, jardins, géoramas, Desclée de Brouwer, Paris,
2003.
Voir
la terre. Six essais sur le paysage et la géographie, Actes Sud,
Arles, 2000.
Il
a co-dirigé également trois ouvrages :
Opérations
cartographiques, Actes Sud, Arles, 2017 (avec G. Tiberghien).
Naissances
de la géographie moderne (1760-1860). Lieux, pratiques et formation
des savoirs de l’espace en France, ENS éditions, Lyon, 2010 (avec
H. Blais et I. Surun).
Les
méditations cosmographiques à la Renaissance, Presses
universitaires Paris-Sorbonne, Paris, 2009 (avec M.-D. Couzinet et F.
Lestringant).
Il
prépare actuellement deux livres :
Voyager
en amitié: Abraham Ortelius et Georg Hoefnagel en Italie (hiver
1577-1578), à paraître aux Presses de la Sorbonne.
Imaginer
le réel. Logiques de la recherche et logiques de projet, à paraître
aux éditions Donner lieu.
Il
prépare actuellement une exposition au Mucem (Marseille) : Le
temps de l’île, dont il est le co-commissaire avec Guillaume
Monsaingeon. L’exposition aura lieu en 2019. Il a animé dans ce
cadre un séminaire de préparation, au Mucem, en 2017 et 2018.
A
l’EHESS, il participe à l’animation de deux séminaires :
Savoirs
et productions du monde au XVIe siècle. Lieux, acteurs,
échelles(avec A. Romano et R. Mandressi).
Communs
et paysage. Lieux, pratiques, projets(avec M.-V. Ozouf-Marignier et
P. Mocquay ; séminaire commun EHESS/ENSP
Versailles-Marseille/UMR Géographie-cités).
Son
séminaire personnel est intitulé Concepts et pratiques de l’espace
habité : la nécessité du paysage.
Alfredo
Orrego est un américain de 52 ans résident en France. Alfredo se
spécialise en gouvernance et éthique en entreprise. Ses recherches
portent aujourd’hui sur nos rapports avec l’argent et sur
l’humour.
Professeure des universités en didactique du FLE à Aix Marseille Université (depuis septembre 2016)
Directrice
du département de FLE (Aix Marseille université, UFR ALLSH) – 2e
mandat en cours.
Représentante
du Laboratoire Parole et Langage au conseil scientifique de la
Structure Fédérative de recherche en Éducation – SFERE Provence
Responsable
du Master 1 spécialité FLES (mention SDL)
Membre
élue du conseil du Laboratoire Parole et Langage (UMR 7309)
Domaines
de recherche :
didactique des langues étrangères, didactique du FLE, études de la
gestuelle, formation de formateurs, interaction multimodale,
adaptation gestuelle
Domaines
d’intervention en formation : dynamique de groupe,
activités ludiques pour la classe, méthodologie de la classe de
langue, gestes et enseignement/apprentissage d’une langue
étrangère, étude du geste coverbal, geste culturel en classe,
gestuelle pédagogique, méthodologie de la recherche, recueil et
annotation de corpus multimodaux.